Les degrés surperieurs de la clairvoyance

Omraam Mikhael Aivanhov« Avez-vous déjà réfléchi sur le fait que, pour que nous puissions voir tout ce qui existe autour de nous, il faut que des rayons lumineux viennent frapper les objets ou les êtres pour nous les rendre visibles?
Certains ont appelé le soleil la lampe de l’univers pour exprimer l’idée que c’est grâce à lui que le monde est éclairé et que nous voyons tout ce qui nous entoure.
Et quand nous ne pouvons pas être éclairés par le soleil, nous avons besoin d’une autre source de lumière : ampoules électriques, bougies, lampes de poche, phares…

Les objets ne sont donc visibles que dans la mesure où la lumière tombe sur eux et les éclaire, c’est une loi du monde physique et c’est aussi une loi du monde spirituel. Mais dans le monde spirituel, il n’y a pas de lampes que nous puissions allumer comme nous allumons la lampe de notre escalier ou de notre chambre. Si nous voulons y voir, c’est nous qui devons projeter une lumière de nous-mêmes.

Voilà pourquoi si peu d’êtres sont capables de voir dans le plan spirituel : parce qu’ils attendent que les objets soient éclairés. Ils ne savent pas projeter eux-mêmes ces rayons qui leur permettront de voir. En réalité, tous les objets des plans astral, mental, causal, etc., émettent de la lumière, mais leur rayonnement ne peut être capté par nos yeux physiques.
Et c’est donc à nous de développer nos organes subtils, d’allumer nos lampes intérieures pour projeter des rayons qui, en tombant à la surface des objets ou des créatures, les rendront visibles. »

Omraam Mikhael Aivanhov
Izvor 228, Regards sur l’invisible

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